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 Berry Eswartz is coming~

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2 participants
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Berry Eswartz

Berry Eswartz


Messages : 3
Date d'inscription : 16/06/2010
Age : 30
Localisation : Dans ma chemise.

Feuille de personnage
Surnom: Berry
Maladie: Cleptomanie
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MessageSujet: Berry Eswartz is coming~   Berry Eswartz is coming~ I_icon_minitimeMer 16 Juin - 21:42

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Berry Eswartz
Berry~


Durarara!! • feat Shizuo Heiwajima










NOM & Prénoms : ESWARTZ Berry


Âge : 17 ans, 6ème année


Nationalité : British 8D


Niveau Scolaire : Berry n'est certes pas le meilleur en toute les matières, mais excelle en Art Plastique et Mathématiques. En cours, il n'est pas très attentif, car un rien peut le distraire. Il préfère s'assoir au fond de la classe près de la fenêtre, là où il compte bien s'évader chaque jour. S'il vous manque une gomme ou quelques pièces de monnaies, c'est que Berry est passé par là~

Classe voulue : J'aimerais bien Original :3


Phrase Fétiche : Si tu m'cherches, je te fait un sourire de clown avec un couteau, t'arraches les yeux avec une petite cuillère et te fait des piercings dans le cou avec une fourchette, vu ?


Futur Envisagé : Il ne sait pas tout à fait... Peut-être peintre, qui sait...


Club(s) Espéré(s) : Art Plastiiiiiiique °0°, Club de Glisse, Club de Magie Noire, Club de Cultures Étrangères, Club de Cuisine.








WHO ARE YOU ?

  • A quoi ça ressemble, un Berry ?
    La première chose que l'on remarque lorsque l'on voit Berry pour la première fois, ce sont ses yeux d'un bleu très clair. Du moins, c'est se que les gens qui le croisent dans la rue remarquent, car il est vrai qu'il possède des yeux magnifiques. Ensuite vient son visage angélique, assez fin, avec des paumettes rondes. Il a un petit nez, une jolie bouche. Des cheveux mi-long blonds tombent sur ses épaules, quelques mèches tombant devant ses yeux. Bref, il est beau, et ne s'en plaint pas, car il apprécie assez les regards que l'on jette sur lui. Il n'est pas rare de le voir un casque sur les oreilles ou une clope à la bouche. Il s'habille plutôt bien quoiqu'il n'apporte pas non plus un grand intérêt à la mode. Le plus souvent, il porte un tee-shirt à manches courtes, généralement accompagné d'un jean bleu. Niveau chaussures, il apprécie les converses. Il n'a pas l'air d'être un bourge, on ne le découvre que lorsqu'il sort des liasses des billets chiffonnés de ses poches. Sinon il a toujours l'air blasé et froid, bizarre, ça attire les gens...

    Sans être le pire des voyous, il faut bien dire que Berry est plutôt du genre irritant. Il envoie souvent chi*r les gens, même s'il les apprécient, en fait: surtout quand il les apprécie. C'est sans doute sa manière à lui de leur prouver son affection. Avec lui, il faut lire entre les lignes, s'il dit "je t'emmerde", cela peut très bien vouloir dire "je t'aime". En générale, il a très mauvais caractère mais il peut très bien se montrer sympathique si l'envie lui en prend, de plus qu'il s'était promit de faire des efforts pour se rendre sociable... Il a gardé des traces de son enfance et de l'éducation qu'on lui a donné, il est du genre hautain au premier abord, surtout envers les "prolétaires", mais encore une fois, cela ne signifie en rien qu'il ne les aiment pas.




YOU ARE MAD.


  • MADNESS WITHIN YOU : Cleptomanie
  • WILL YOU SURVIVE ? : Monsieur Berry vole simplement tout ce qui lui plaît. Il est d'ailleurs très habile, et se fait rarement attrapé. C'est plus fort que lui, il ne peut pas s'en empêcher! Il vole aussi bien ses amis que ses ennemis, avant que vous l'ayez vu arriver, vos poches sont déjà vides~.



    ONCE UPON A TIME...


      L'histoire de Berry commença comme toutes les histoires commencent: par un « je t'aime » précédant le « Je ne veux plus jamais te revoir ». Déjà une erreur avant d'être née, ses parents le jugèrent ainsi sans l'avoir vu, ils rejetèrent leur propre faute sur un enfant qui n'avait même pas encore vu le jour. Une simple erreur d'un soir, qu'ils leur a pourtant faillit assumé. La mère de Berry accoucha sous X en disant qu'elle ne voulait pas le voir. Il fut mit en foyer et y resta pendant trois mois. Contre toute attente, le père du petit garçon vint le reprendre, accompagné de ses parents. Il ne voulait pas de lui, en vérité il comptait l'oublier et ne plus jamais citer cet enfant. Pourtant, lorsque ses parents apprirent la vérité, ils ne voulurent rien entendre. « Un sang si pure de haute lignée ne peut pas être élevé par des gueux. » Car le père de Berry était en effet de haute lignée, une lignée qui c'était prélassé pendant des centaines d'années, mais qui à présent dirigeaient une grande chaîne de vêtement, la nouvelle société oblige. Il aurait été préférable pour ce petit d'être adopté par une famille aimante, or il continuait d'être une erreur rejetée, collé à une famille sans sentiment qui ne voulait même pas de lui, pour la simple raison que ses ancêtres avaient eut le mauvais goût de se faire anoblir.

      Berry grandit sans se poser de question sur ses origines. Il lui était interdit d'aller à l'école. On lui attribua une éducation « exemplaire », sans autres enfants, sans jeux, sans coloriages, sans comptines. On lui apprit le savoir vivre, comment penser, l'art de la parole en plus des matières habituelles. En dehors des cours, il apprenait le piano, on lui enseigna les arts. Mais le plus important surtout: compter, car l'argent, c'est le blason de la famille. Berry n'en souffrait que peu: il n'avait rien connu d'autre que l'indifférence et le méprit. Lorsqu'il eut cinq ans, son père trouva un bon partie. De ce nouveau gagne pain irlandais naquit cinq filles. Emi les détesta tout de suite, à la seconde où, à un an de décalage ni plus ni moins, elles montrèrent le bout de leurs crânes de femelle chauve. Mais c'est de la naissance de sœur n°1 que lui vint une idée étrange: qui était sa mère? D'où venait ses cheveux blonds, et ses yeux bleus? Son père était pourtant typé sudiste. Cependant la question il ne la posa pas: dans la famille on ne se parle pas inutilement. Et si jamais le sujet avait été abordé, il aurait été punit pendant des mois...

      Lorsque n°5 naquît, Berry avait déjà bien grandit. Il était grand, mais la plus grande transformation était sans doute sa nouvelle manie: Chiper des sucettes au magasin d'en face. Pourquoi voler alors que le fric ne manquait pas dans sa famille? De un, les sucreries, c'était "une perte d'argent", et de deux, c'était bien plus amusant.

      A douze ans, il fut envoyé en pensionnat. Une nouvelle vie commença. Sans s'en rendre compte, pendant toute sa vie Berry avait été malheureux, lui, avait simplement conscience de ne jamais avoir été heureux. Et lorsqu'il fut libre, enfin, libre de manger se qu'il voulait, libre de crier s'il lui en prenait l'envi... Or ce trop plein de bonheur, de sensation eut un effet très néfaste sur lui. Pas au début bien sur. Après l'école il se contentait d'aller acheter tout se dont il avait envie: il abusa par conséquent de tout se qu'un enfant ne devrait jamais manquer: de bonbons, de chocolat... Puis vint la musique. Le classique que les grand-parents passaient l'avait rendu malade, ainsi, lorsqu'il découvrit le rock il prit conscience du bonheur pour la première fois.
      Mais d'où venait tout cet argent? Certes, de ses parents, mais pas seulement; dans le dortoir, des choses commençaient à disparaître. Le coupable? Berry bien entendu u_u. Ce dernier volait les affaires de ses copains de chambre, pour les revendre et s'acheter des sucreries.

      Il parlait peu à ses compagnons d'internat. Ils les méprisaient. Des bourgeois comme les autres, sans aucun attrait, sans aucune saveur, pourri jusqu'à l'os. Ainsi, se détestait-il également. Il passa deux années à découvrir seul la vie. Il se mit à classé ses plaisirs, ses envies. Il avait tout se qu'il désirait, sans exception. Cependant, il n'en avait jamais assez pour s'en lasser. Il adorait particulièrement lire un livre, étendu sur son lit, avec le mp3 qui criait du nirvana dans ses oreilles, un paquet de m&m's piqué quelques heures avant dans l'épicerie du coin posé sur la table de nuit. Or, il commença à grandir. Ses envies changèrent, de Harry Potter il passa aux liaisons dangereuses, Agatha Christie s'inclina devant Zola. Il aimait lire le malheur des autres, afin de mieux profiter de son bonheur. Bonheur, ou pas, puisqu'il était seul, pourtant il ne recherchait pas la compagnie. Jusqu'à une nuit, il ait quatorze ans et demi.

      Il se promenait tout seul, le mp3 transformé en i-pop dans les oreilles, il faisait nuit. Un gang de garçons passaient par là, ils faisaient beaucoup de bruit, Berry qui ne jurait que par le silence se leva d'un bond pour trouver un coin plus calme. Les garçons le rattrapèrent. C'étaient le genre de voyous que personne n'aime, des punks, des alcoolos, des drogués, des gens paumés. Pour la première fois, Berry devint le centre de l'attention. « T'es qui toi? », « T'es un vrai blond? », « Tu viens d'où? », « C'est quoi c'te veste, t'es un bourge? », « T'aimes le shit mon pote? ». Premier dilemme de sa vie, ce ne sera pas le dernier, quoique celui-ci eut beaucoup d'importance. Il aurait put trouver ses gueux inutiles et rentrer au pensionnat, il choisit de prendre le joint que les gars lui tendait. Cette nuit là, ils les suivies. Parlant peu, écoutant beaucoup. Ses mecs, ses paumés de la vie comme on les appellent, n'étaient pas comme on aurait pu le croire. Alors qu'il était seul, se n'était pas la gentille maman de famille, pas l'étudiant cool, pas le petit papi tout mimi, pas les associations d'aide aux jeunes, mais ses types qui lui avaient tendu la main. C'était Berry, le vrai paumé...

      Les types étaient âgés de dix huit à trente ans. Ils étaient huit. La majorité des gars avaient entre dix huit et vingt ans, seul deux avaient vingt cinq et trente ans. Ils étaient très loin du milieu social d'où venait Berry, et pourtant il se plaisait là où il était. Désormais, il passait tout son temps avec ses types. En six mois il apprit toute une vie. Huit pour être précis. « La vie est dure. Ok, ça on sait. Après p'tit, t'as deux choix. Ou vivre juste pour vivre: famille, boulot, dodo. Ou essayer de la rendre agréable. » Il choisit cette option. Premières cuites, premiers joints, mon dieu qu'il aimait ça. Il n'était plus sur Terre. Pas d'abandon, pas de méprit, pas de routine, il rêvait, était dans son monde parfait, il paraît loin, très loin, il était bien... Très vite ses moments de béatitude devinrent son quotidien. Il avait ça, plus ses petits plaisirs, ses petits vols qu'il gardait cependant secrets, plus des potes: on peut dire qu'il était presque heureux.

      Pendant une année, Berry continua sur sa lancée. Il rencontra quelques garçons avec qui il passait du bon temps. Mais très logiquement il ne croyait pas en l'amour, puisqu'il n'en avait jamais reçu. Et puis, à seize ans, son ingrate famille le rappela à eux. Il en fut écœuré et terriblement blessé. Il avait une vie, une vie qui lui plaisait, il se l'était construite et voilà qu'un cauchemar venu du passé le rattrapait. Cependant une seule raison le poussa à revenir: il voulait savoir qui était sa mère. Il retourna au manoir de son enfance qu'il retrouva avec dégoût. N°1,2,3,4 et 5 avaient bien grandit. Super, c'était pire que avant. N°1 était folle du boulot, elle ne jurait que par ça, son rêve: être une brillante avocate. N°2 collectionnait les mecs dans le dos des vieux. N°3 était une sportive stupide qui avait soit disant la gagne et qui méprisait les loosers (qui comptait 90 pour cent de la société.) N°4 était une petite prodige. Et N°5 jouait encore à la poupée. Quatre ans, il était partit pendant quatre années, et maintenant retour à la case départ. Mais il n'avait pas fait tous ses sacrifices pour rien. Le soir même de son retour il se planta devant son père et posa la question interdite. Les vieux en furent outrés, ils crièrent au scandale et l'insultèrent de tous les noms. Pendant une heure entière la bataille fit rage. Et puis, le père prit son rôle pendant une minute: la première de sa vie. Il cracha le morceau: Jeunes, une erreur, Diana, française, blonde comme toi. Cela lui suffit. Il n'avait pas besoin d'en savoir plus. Qu'elle ne s'en fasse pas, il ne la chercherait pas, car elle avait eut le mérite de faire le bon choix, s'il n'avait pas eut de père, il aurait pu être heureux.

      Il fit ses bagages et partit. S'en suivit de nouveau la solitude. La drogue, elle, était là, en plus de sa cleptomanie. Et pourtant comme tout le monde, elle l'abandonnait, ses trips n'étaient plus aussi rose qu'avant. Il passait ses journées dans l'horreur qu'il avait voulu fuir en prenant son premier joint: la routine. Une terrible routine. Il se lève, il mange, il marche au hasard dans les rues toute la journée, il pique un truc, il se couche. Il aurait put mener la grande vie avec son fric, mais il n'en ressentait même pas le besoin. Et un jour un miracle se produit. Il était assit par terre, sur un trottoir, il badait, comme à son habitude. Et quelqu'un c'est arrêté. Encore une fois se n'était pas les associations, pas les gens bien vu mais une jeune fille, tout se qu'il y a de plus banal. Il leva les yeux vers elle, elle lui souriait, lui tendait la main. Il la saisit. Il la suivie. Et ne capta plus rien jusqu'au lendemain matin. Il se réveilla dans un petit appartement, chez elle. Elle était dans la cuisine en train de préparer des pancakes. Elle lui sourit. Il la trouva magnifique. Ils mangèrent en silence, mais les yeux de la jeune fille brillaient de gentillesse. Ainsi, ça existait? C'est elle qui prit la parole en première. « Qu'est se que tu faisais par terre? »; « Rien. »; « Tu t'appelles comment? »; « Berry. »; « Tu viens d'où? »; « Peu importe, j'y retournerais pas. »; « Alors, tu peux resté ici. J'ai pas grand chose, mais se que j'ai je le partage volontiers. » Il resta à la regarder, choqué par ses paroles, il n'y croyait pas, et pourtant. Une semaine passa. Elle était toujours souriante, toujours gentille, elle s'intéressait à lui. Il ne comprenait pas cette fille, et pourtant il trouvait cela agréable. Il se sentait bien, pas bien comme au temps du gang, mais paisible, heureux, il avait une vie. Il se mit à vouloir l'aider. Et c'est en apprenant à cuisiner avec elle qu'il apprit qui elle était: Lyz, étudiante en art, son père était commerciale, sa mère secrétaire, elle avait une petite sœur qui s'appelait Chamberlyn et qui adorait Pucca et Hello Kitty. Étrange, se qu'elle racontait l'intéressait. C'était pourtant banal, stupide, niais, naïf, mais il aimait ses histoires. Au bout d'un mois, il lui raconta son histoire par petit bout. Seul, riche, sa famille, sa mère, le pensionnat, la drogue. Elle écoutait sans faire la psy, elle ne pleura pas sur son histoire, mais en tira au contraire les bons côtés: « Bah! Au moins tu t'es bien amusé! ».
      Cependant, Berry ne cessa pas sa sale manie à voler. Oui, il volait même Lyz. C'était affreusement honteux, mais il ne pouvait pas s'en empêcher.

      Ils vécurent heureux, amis pendant quelques mois, Berry ne s'inquiétait plus de rien. Il se levait, elle était là, il se couchait, elle était là. Un peu comme la mère qu'il n'avait jamais eut, inconsciemment. Il commença à s'intéresser à plusieurs domaines, notamment les arts. Et pourtant, un jour, Lyz dut partir, ses années d'études étaient finit, et elle avait trouvé un travail au nord. Pas le choix, il la laissa partir, elle, la seule qui se soit jamais intéresser à lui. Ils s'écriraient. Mais il avait changé, grâce à elle. A présent qu'il avait connu le pire et le meilleur, il comptait trouver un juste milieu. Il était si jeune et avait déjà trop connu. Sa personnalité c'était plus affirmé, et c'était transformé en quelque chose entre ce qu'il avait vécut et l'éducation qu'on lui avait donné. Alors, que font les jeunes de son âge? Ils vont à l'école. Lyz lui conseilla bien entendu l'art. L'art? Pourquoi pas? C'est vrai qu'il avait une bonne formation, il aimait ça, de plus il était naturellement doué, surtout en dessin. Il se renseigna donc pour intégrer une école. Il tomba sur la brochure de cette école. Les autres étaient plus chères, plus prestigieuse, ainsi son choix se porta sur celle-ci. En plus, paraît que ça aide à soigner les "problèmes", ce qui faisait ainsi référence à la cleptomanie de Berry. Chouette.




    AND IN REAL LIFE...

    • VOUS ÊTES FOU : Ouais 8D
    • C'EST QUOI VOTRE JOLI SURNOM : Berry (je ne plaisante pas xD)
    • ET V'Z'ÊTES VIEUX, OU PAS : 16 ans et encore toutes ses dents!
    • OU AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM: Recherche Internet~
    • AUTRE CHOSE A DIRE : Nan


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Dorian D. O'Ryan

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« It's a Pleasure to Serve you »
Dorian D. O'Ryan


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Date d'inscription : 28/04/2010

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Surnom: Prince ~
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MessageSujet: Re: Berry Eswartz is coming~   Berry Eswartz is coming~ I_icon_minitimeMer 16 Juin - 22:18

    Well well well...
    Très jolie fiche **

    Et voilà un très bel Original de plus pour notre académie ~
    Pour les Clubs je t'accorde évidemment celui d'Arts Plastiques, comment refuser ça après avoir lu une telle histoire Hm ? ^-^
    Comme je ne sais pas combien tu en veux, je te propose accessoirement Magie Noire, puis Glisse en dernier choix.

    J'ai également le plaisir de te VALIDER et de te souhaiter un super bon Jeu parmi nous et la bienvenue **

    C'est le fameuse Berry ? Genre de Durarara dont Kim-chan et Cherry parlent souvent ? *-*

    Edit de Kim-chan-->Moi je squatte juste ! =D
    *pastaperpastaper*

    Juste pour vous dire que......... On dirai pas Shizuo sur la vava è________é
    *fangirl DRRR ON*
    Nan c'pas Shizu-chan, il lui ressemble pas et j'ai jamais vu cette image
    *PAF*

    Et que Sir Dori, nan, Berry de DRR.... C'est moi xDDD
    Donc je pense pas avoir un nouveau compte ici, sauf si je suis moi-même shizo x)

    Surtout que le fameux Berry, c'est un autre BB, alors ~

    Well, Bienvenur Berry-kun x)
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